jeudi 19 novembre 2009

La soirée carrières

Mardi le 17 novembre, j’ai pu assister à 3 conférences de gens qui présentaient leurs métiers. Ces 3 professionnels expliquaient en gros leurs métiers.

•Mon premier atelier était celui du photographe. Un homme nous a expliqué ce qu’un étudiant en photographie devait traverser pour devenir un bon photographe. Au début de la carrière, il est très dur de vivre de cela.


•Mon deuxième atelier était celui d’avocat. C’est de loin celui que j’ai le moins aimé, car dès le début, l’homme qui donnait la conférence n’avait pas l’air d’aimer son métier. Puis, quand il a commencé à expliquer le métier, les différentes portes du droit (droit commercial, droit criminel, etc.), j’ai vite compris que ce métier ne correspondait pas à ce que je suis. Il faudrait des très hautes notes, ce que je n’ai pas.


•La troisième conférence était celle de la directrice des ressources humaines. Dans ce métier, tu choisis un personnel et tu t’assure qu’il soit bien formé. Ce métier m’intéresse, car j’aime avoir des liens avec des gens et diriger.


Mon atelier préféré était celui du photographe. L’homme qui nous expliquait son métier avait l’air passionné, il nous disait que la photographie n’était pas seulement un métier, c’était aussi une passion. Il faut avoir un esprit critique et surtout aimer côtoyer des gens. Il faut aussi être patient.

Je ne crois pas que ce soit une option envisageable pour moi parce qu’avec la photographie, il faut vraiment progresser et si tu n’es pas à la hauteur de la demande, il est très difficile d’avoir de l’argent et de se faire connaître. De plus, la qualité la plus importante lorsque tu es un photographe, c’est la patience. Or, je suis très impatiente. L’homme nous a raconté qu’une seule œuvre peut prendre 4h à produire. Je ne sais pas si j’aurais la patience de faire 4h le même projet. Je verrais plus la photographie comme un loisir qu’un travail.

dimanche 25 octobre 2009

Pauvre petit garçon !


La nouvelle littéraire Pauvre petit garçon est ma préférée du recueil de nouvelles, car c'est l'histoire d'Hitler. Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti de la pitié ou de la compassion pour ce monstre. La nouvelle est vraiment intéressante car tout au long, on s'attache au pauvre enfant Dolfi, on a pitié pour lui, on prends de son côté, puis lorsqu'on lit la dernière phrase
<>
toute la pitié que nous avons eu tout au long de l'histoire s'envole, car on apprends que ce pauvre enfant qui se fait tabasser est en fait Adolf Hitler, le pire meurtrier, celui qui a tué le plus de monde au cours de sa vie. Personne n'a vraiment de pitié pour un monstre comme lui.
Le dénoument promet donc un effet de surprise très réussi!

Tout est parfait


Tout est parfait est un film québécois.

Cela parle du suicide. Ce sujet me touche particulièrement car je connais quelqu'un qui s'est aussi mis fin à la vie. Dans ce film, on parle d'un pacte de jeunes, qui ont décidé de se suicider tous ensemble pour sceller leur amitié... Les adolescents ont tendance à croire qu'ils sont invincible. Tout au long de l'histoire on s'attache au personnage principal, Josh. Puis lorsque la fin arrive, le dénouement est tellement surprenant, il vient nous toucher droit au coeur. C'est le premier film dans lequel j'ai pleuré, et auquel j'ai continué à penser bien après l'avoir vu.

Fascination


Fascination est le roman que j'ai choisi. C'est un des meilleurs livres que j'ai lu, mon préféré de la série de 4. Depuis que le film Twilight est sorti, tout le monde s'est jeté sur la série de Stephenie Meyer. C'est l'histoire de l'amour infini d'un vampire qui s'appelle Edward envers une humaine nommé Isabella Swan. Le roman nous transporte dans un autre univers, il nous fait rêver d'un homme aussi beau, aussi extraordinaire, aussi mystérieux et ténébreux mais surtout, aussi amoureux et romantique. Dès que tu apprends à le connaître, tu le visualises comme la plus belle créature, tu tombes aussitôt en amour avec son personnage. Puis tu apprends à connaître Bella
, la gaffeuse et simple adolescente qui vivra la plus belle histoire d'amour de tous les temps.

samedi 24 octobre 2009

Molusques, vers, échinodermes, coelentérés et infusoires.

Dans l'histoire, le père du petit meurt à la fin, mais l'enfant n'a pas de peine, il ne souffre point.

Je changerais plutôt la fin ainsi :

Lorsque je revins, ma mère me chicana. Puis elle se mit à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi. Elle m'apprit que mon père s'était suicidé hier soir, quand elle lui avait appris que j'avais fait une fugue. Comme j'étais grand, je ne voulais pas pleurer comme un enfant. Elle me dit qu'elle m'en voulait, que papa voulait revenir nous voir et voulait recommencer une relation sérieuse, il voulait former une famille, une vraie. Cependant, je ne connaissais pas mon père. J'étais la cause de la mort d'un homme, que je ne connaissais certes pas, et de la probable mort de tous mes petits animaux de compagnie... Lorsque ma mère entra dans sa chambre, je commençai à pleurer et je n'arrêtai plus jamais.

Dans le noir

effluve
<<... et respirai l'effluve citronnée de sa lotion après-rasage...>>
effluve signifie parfum.
exemple : Lorsque je sentis son effluve boisée, je chavirai.

échotier
<échotier n'en a pas ?>>
l'échotier est un employé qui s'occupe des potins.
exemple : L'échotier parlait de la vie amoureuse de Britney Spears.

astronomique
<<... les frais médicaux avaient atteint des montants astronomiques.>>
astronomique signifie très cher dans le contexte.
exemple : Si tu veux me consulter, tu devras payer un montant astronomique!

cécité
cécité ...>>
un homme qui souffre de cécité est un homme aveugle.
exemple : Lorsqu'il commença a souffrir de cécité, ses amis l'abandonnèrent.


tarauder
<<>tarauder.>>
tarauder signifie de le tourmenter.
exemple : L'idée qu'elle avait mangé le gateau d'anniversaire ne cessait de me tarauder.

Ça n'avait aucun sens

Le résumé :
C'est l'histoire d'une femme nommé Alice qui avait décidé de faire un aller-retour Québec-Montréal dans la même journée lorsqu'elle était enceinte, à 37 semaines de grossesse. Elle était très organisée mais elle faisait toujours à sa tête. Plein de monde lui avaient suggéré de ne pas partir, mais elle l'avait fait quand même. Elle devait aller porter des maquettes à Montréal pour son travail, mais dans le bureau de la directrice d'édition, lorsqu'elle avait commencé à étaler ses maquettes, elle perdit ses eaux. Elle voulait rentrer à Québec pour accoucher, mais elle ne pouvait pas : elle devait accoucher à Montréal. Le docteur à Québec était beaucoup plus préoccupé par les Canadiens que par l'accouchement d'Alice, ce qui l'insulta.