•Mon premier atelier était celui du photographe. Un homme nous a expliqué ce qu’un étudiant en photographie devait traverser pour devenir un bon photographe. Au début de la carrière, il est très dur de vivre de cela.
•Mon deuxième atelier était celui d’avocat. C’est de loin celui que j’ai le moins aimé, car dès le début, l’homme qui donnait la conférence n’avait pas l’air d’aimer son métier. Puis, quand il a commencé à expliquer le métier, les différentes portes du droit (droit commercial, droit criminel, etc.), j’ai vite compris que ce métier ne correspondait pas à ce que je suis. Il faudrait des très hautes notes, ce que je n’ai pas.
•La troisième conférence était celle de la directrice des ressources humaines. Dans ce métier, tu choisis un personnel et tu t’assure qu’il soit bien formé. Ce métier m’intéresse, car j’aime avoir des liens avec des gens et diriger.
Mon atelier préféré était celui du photographe. L’homme qui nous expliquait son métier avait l’air passionné, il nous disait que la photographie n’était pas seulement un métier, c’était aussi une passion. Il faut avoir un esprit critique et surtout aimer côtoyer des gens. Il faut aussi être patient.
Je ne crois pas que ce soit une option envisageable pour moi parce qu’avec la photographie, il faut vraiment progresser et si tu n’es pas à la hauteur de la demande, il est très difficile d’avoir de l’argent et de se faire connaître. De plus, la qualité la plus importante lorsque tu es un photographe, c’est la patience. Or, je suis très impatiente. L’homme nous a raconté qu’une seule œuvre peut prendre 4h à produire. Je ne sais pas si j’aurais la patience de faire 4h le même projet. Je verrais plus la photographie comme un loisir qu’un travail.
Mon atelier préféré était celui du photographe. L’homme qui nous expliquait son métier avait l’air passionné, il nous disait que la photographie n’était pas seulement un métier, c’était aussi une passion. Il faut avoir un esprit critique et surtout aimer côtoyer des gens. Il faut aussi être patient.
Je ne crois pas que ce soit une option envisageable pour moi parce qu’avec la photographie, il faut vraiment progresser et si tu n’es pas à la hauteur de la demande, il est très difficile d’avoir de l’argent et de se faire connaître. De plus, la qualité la plus importante lorsque tu es un photographe, c’est la patience. Or, je suis très impatiente. L’homme nous a raconté qu’une seule œuvre peut prendre 4h à produire. Je ne sais pas si j’aurais la patience de faire 4h le même projet. Je verrais plus la photographie comme un loisir qu’un travail.
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