dimanche 25 octobre 2009

Pauvre petit garçon !


La nouvelle littéraire Pauvre petit garçon est ma préférée du recueil de nouvelles, car c'est l'histoire d'Hitler. Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti de la pitié ou de la compassion pour ce monstre. La nouvelle est vraiment intéressante car tout au long, on s'attache au pauvre enfant Dolfi, on a pitié pour lui, on prends de son côté, puis lorsqu'on lit la dernière phrase
<>
toute la pitié que nous avons eu tout au long de l'histoire s'envole, car on apprends que ce pauvre enfant qui se fait tabasser est en fait Adolf Hitler, le pire meurtrier, celui qui a tué le plus de monde au cours de sa vie. Personne n'a vraiment de pitié pour un monstre comme lui.
Le dénoument promet donc un effet de surprise très réussi!

Tout est parfait


Tout est parfait est un film québécois.

Cela parle du suicide. Ce sujet me touche particulièrement car je connais quelqu'un qui s'est aussi mis fin à la vie. Dans ce film, on parle d'un pacte de jeunes, qui ont décidé de se suicider tous ensemble pour sceller leur amitié... Les adolescents ont tendance à croire qu'ils sont invincible. Tout au long de l'histoire on s'attache au personnage principal, Josh. Puis lorsque la fin arrive, le dénouement est tellement surprenant, il vient nous toucher droit au coeur. C'est le premier film dans lequel j'ai pleuré, et auquel j'ai continué à penser bien après l'avoir vu.

Fascination


Fascination est le roman que j'ai choisi. C'est un des meilleurs livres que j'ai lu, mon préféré de la série de 4. Depuis que le film Twilight est sorti, tout le monde s'est jeté sur la série de Stephenie Meyer. C'est l'histoire de l'amour infini d'un vampire qui s'appelle Edward envers une humaine nommé Isabella Swan. Le roman nous transporte dans un autre univers, il nous fait rêver d'un homme aussi beau, aussi extraordinaire, aussi mystérieux et ténébreux mais surtout, aussi amoureux et romantique. Dès que tu apprends à le connaître, tu le visualises comme la plus belle créature, tu tombes aussitôt en amour avec son personnage. Puis tu apprends à connaître Bella
, la gaffeuse et simple adolescente qui vivra la plus belle histoire d'amour de tous les temps.

samedi 24 octobre 2009

Molusques, vers, échinodermes, coelentérés et infusoires.

Dans l'histoire, le père du petit meurt à la fin, mais l'enfant n'a pas de peine, il ne souffre point.

Je changerais plutôt la fin ainsi :

Lorsque je revins, ma mère me chicana. Puis elle se mit à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi. Elle m'apprit que mon père s'était suicidé hier soir, quand elle lui avait appris que j'avais fait une fugue. Comme j'étais grand, je ne voulais pas pleurer comme un enfant. Elle me dit qu'elle m'en voulait, que papa voulait revenir nous voir et voulait recommencer une relation sérieuse, il voulait former une famille, une vraie. Cependant, je ne connaissais pas mon père. J'étais la cause de la mort d'un homme, que je ne connaissais certes pas, et de la probable mort de tous mes petits animaux de compagnie... Lorsque ma mère entra dans sa chambre, je commençai à pleurer et je n'arrêtai plus jamais.

Dans le noir

effluve
<<... et respirai l'effluve citronnée de sa lotion après-rasage...>>
effluve signifie parfum.
exemple : Lorsque je sentis son effluve boisée, je chavirai.

échotier
<échotier n'en a pas ?>>
l'échotier est un employé qui s'occupe des potins.
exemple : L'échotier parlait de la vie amoureuse de Britney Spears.

astronomique
<<... les frais médicaux avaient atteint des montants astronomiques.>>
astronomique signifie très cher dans le contexte.
exemple : Si tu veux me consulter, tu devras payer un montant astronomique!

cécité
cécité ...>>
un homme qui souffre de cécité est un homme aveugle.
exemple : Lorsqu'il commença a souffrir de cécité, ses amis l'abandonnèrent.


tarauder
<<>tarauder.>>
tarauder signifie de le tourmenter.
exemple : L'idée qu'elle avait mangé le gateau d'anniversaire ne cessait de me tarauder.

Ça n'avait aucun sens

Le résumé :
C'est l'histoire d'une femme nommé Alice qui avait décidé de faire un aller-retour Québec-Montréal dans la même journée lorsqu'elle était enceinte, à 37 semaines de grossesse. Elle était très organisée mais elle faisait toujours à sa tête. Plein de monde lui avaient suggéré de ne pas partir, mais elle l'avait fait quand même. Elle devait aller porter des maquettes à Montréal pour son travail, mais dans le bureau de la directrice d'édition, lorsqu'elle avait commencé à étaler ses maquettes, elle perdit ses eaux. Elle voulait rentrer à Québec pour accoucher, mais elle ne pouvait pas : elle devait accoucher à Montréal. Le docteur à Québec était beaucoup plus préoccupé par les Canadiens que par l'accouchement d'Alice, ce qui l'insulta.

Alexandrie, Alexandrie

Description d'un lieu :
Il y avait une Alexandrie, de l'autre côté de Persépolis, vers l'Indus. C'était une cité beaucoup plus petite que la première Alexandrie, on y trouvait un champ de ruines vaste, qu'on devinait d'anciennes pleures de la ville. Il fallait traverser ce champ pour arriver à une petite oasis autour de laquelle s'agglutinaient une centaine de bâtiments en briques rouge. Cette Alexandrie tenait davantage du caravansérail que de la ville impériale.


Histoire courte qui aurait pu s'y dérouler :

Dans cette cité, un homme semant la terreur vivait. Il dictait la petite population qui y habitait. La cité était souvent attaquée, on haïssait ce dictateur. Les hommes de la cité défendaient comme ils le pouvaient ce petit oasis triste et laissé au désespoir. De toute façon, il y avait bien d'autres Alexandrie, et celle ci était vouée depuis longtemps à la destruction ou l'abandon. Lorsque les enfants seraient assez vieux, les familles partiraient une à une vers une autre Alexandrie beaucoup plus joyeuse...

mardi 20 octobre 2009

Ça, Monique Proulx

Description du personnage :
Il est couché sur le trottoir, on dirait une sculpture et il pue. Il tient un grand sac vert débordant de choses comme des bouteilles de caribou vide, de l'argent Canadian Tire, des chandails de hockey troués, des cartes, etc.. Il ne laisser personne s'approcher de ce sac. Il rêvait de devenir astronaute (ou un autre métier grandiose) et il était "humain" dans son enfance. On parle d'un sans-abri, bien sûr!

L'auteur ne parle pas de l'enfance du sans-abri, de sa façon d'être quand il était petit car elle parle de plusieurs sans-abris, non pas un en particulier. Monique décrit ce qu'est un sans-abri vulgairement, en quelques phrases.


Partie de sa vie qui n'est pas abordée dans le récit :
Il allait rejoindre sa copine. C'était son anniversaire et il avait prévu de lui payer un restaurant pour fêter ça. Toute la journée, il avait recueilli des canettes et autres bouteilles qu'il était allé revendre à l'épicerie la plus proche. Il était fier de lui : il allait pouvoir lui payer le Mc Donald. Et ensuite, ils iraient dans un parc regarder l'eau et les bateaux qui passent. Peut-être faisait-t-il cela à chaque anniversaire (cela faisait maintenant 4 ans qu'ils étaient ensemble), mais il était certain qu'elle l'apprécierait.